mercredi 18 juillet 2012

Corsicapolar réussit un régal de festival

La 6ième édition du festival du polar corse et méditerranéen s'est déroulée les 12, 13 et 14 juillet derniers sous le soleil d'Ajaccio et de Porticcio. J'ai toujours beaucoup d'admiration pour les organisateurs de festivals. C'est un énorme travail, qui s'étale sur plusieurs mois, et le festival lui-même n'est que la partie émergée de l'iceberg. Souvent, ce sont des dizaines de bénévoles qui s'affairent pour organiser l'événement, se démènent avec les organismes locaux, les sponsors, la presse, les libraires, les éditeurs et les auteurs pour que le jour J tout se passe au mieux.
Chez Corsicapolar, ils sont 4 à avoir ainsi oeuvré pour que la fête soit réussie. Lucienne Gaspari, Jean Pierre Orsi, Jean Paul Ceccaldi et Ugo Pandolfi ont fait des merveilles. Un régal de festival, placé sous le signe de la bonne humeur, de la décontraction, de l'hospitalité et de l'amitié. 16 auteurs "insulaires" et 18 continentaux, on peut dire qu'il y avait parité, mais ceux ayant fait le voyage depuis le continent ont été davantage gâtés : la fête a démarré plus tôt, sur le bateau parti de Marseille la veille... 2 jours place Diamant à Ajaccio, puis une journée au CCAS de Porticcio ont passé vite. L'ami Jean Pierre Orsi a orchestré le bouquet final du festival en conviant les "rescapés" dans sa propriété isolée dans le maquis, où nous avons pu papoter, deviser, blaguer, nous restaurer et nous abreuver, siester aussi... avant de reprendre le bateau pour le continent.

J'ai eu la joie de retrouver des auteurs comme Elena Piacentini (Carrières noires !), Zolma, Marie Vindy ou André Fortin (et bien sûr Jean Paul Ceccaldi et Jean Pierre Orsi), et aussi de rencontrer pour la première fois Pierre Brocchi, Bernard Vitiello, Florence Bremier, Nathalie Chacornac, André (Dédé) de Rocca, Michel Jacquet, Jean Pierre SimoniMathieu Croizet, Ugo Pandolfi (dont j'ai rapporté le très alléchant Vendetta de Sherlock Holmes)... Sacrée brochette.

Bref : un régal de festival !


Apéro bien mérité pour Jean-Paul Ceccaldi au départ de Marseille

Michel Jacquet n'en croit pas ses yeux

Jean Pierre Orsi s'affaire au bar tandis que Jean-Paul Ceccaldi et André Fortin refont le monde...

André et Jean-Paul

Bernard Vitiello

Coup de pompe ?

Jean-Pierre Orsi est un voisin de stand formidable : ses explications sur la mafia calabraise sont passionnantes.

Florence, Mathieu et Marie

Jean-Paul, Gaëlle... et Ajaccio.

Jean-Pierre et Nathalie.

Jean-Pierre Simoni et Florence.

Nadine, une lectrice de Morsaline...


Pierre et Gaëlle, place Diamant.

Ajaccio, vue de Porticcio.

Zolma

On prend l'apéro ?

Fiesta !

Bye, la Corse...

2 commentaires:

  1. Merci Hervé pour ce compte-rendu quasi-exhaustif (quid de l'enlèvement ?) sans parler du reportage-photo : superbe ! De bien belles images, comme on aimerait en voir plus souvent... Bises, Nathalie

    RépondreSupprimer
  2. Oui, c'est vrai, l'enlèvement de 5 auteurs de polars en plein festival d'Ajaccio (dans des conditions obscures et rocambolesques) fera l'objet d'un complément d'information. J'attends de récupérer une liaison internet digne de ce nom avant de relayer les vidéos prises par notre envoyée spéciale. Bises, Nathalie !

    RépondreSupprimer